Cette année, le Tour de France propose de belles ascensions. Avec pas moins de sept étapes de montagne dont quatre arrivées au sommet, le Tour sera difficile. Quelles sont les montagnes qui attendent les coureurs et qui valent vraiment la peine d'être explorées ?

Le 111e Tour sera une édition spéciale à plus d'un titre. Ainsi, les lieux de départ et d'arrivée sont différents de ceux auxquels nous sommes habitués. Le Tour de France devient très brièvement le "Giro" et commence pour la première fois dans l'Italie voisine, avec sept côtes entre Florence et Rimini lors de la première étape. Autre première : les environs des Champs-Élysées n'étant pas libres en raison des Jeux olympiques, le Tour ne se terminera pas dans la capitale, Paris, pour la première fois. Pas de panique, l'organisateur A.S.O. a prévu une belle alternative à Nice : un contre-la-montre individuel. Cela promet de l'excitation jusqu'à la dernière étape.

Ce qui saute aux yeux en regardant le parcours, c'est le grand nombre d'étapes de montagne cette année : sept. Il s'agit clairement d'un Tour conçu pour les grimpeurs, du moins sur le papier. Parmi ces montagnes se trouvent quelques joyaux qui seront délicats pour les coureurs et le reste de la caravane du Tour. Il s'agit littéralement des points culminants du Tour. Jetez un coup d'œil.

Dès la quatrième étape, les coureurs plongent dans les Alpes et, à partir de ce moment-là, le Tour de France se déroule réellement en France. Les coureurs passent par le col de Montgenèvre jusqu'au pied du col du Galibier. Il s'agit d'une longue ascension de 23 km avec une pente moyenne de 5,1 %. Le dernier kilomètre est le plus raide (9 %) et s'élève à 2 642 m d'altitude. Les coureurs plongent ensuite vers la ligne d'arrivée à Valloire.

La 14e étape et première étape pyrénéenne mène les coureurs de Pau au Pla d'Adet. Cette dernière ascension figure sur le parcours pour une raison particulière. En effet, cela fait exactement 50 ans que le géant pyrénéen a accueilli le Tour pour la première fois. D'ailleurs, le vainqueur de cette étape en 1974 était une icône du cyclisme français : Raymond Poulidor, le grand-père de Mathieu van der Poel. En cours de route, les coureurs pourront également gravir le col du Tourmalet sur 19 km, avec une pente moyenne de 7,4 %.

La troisième (et dernière) semaine du Tour comporte quelques étapes de montagne difficiles. La 19e étape, d'Embrun à Isola 2000, est considérée comme l'étape reine, avec d'impressionnants sommets alpins. Le plus sensationnel : La Cime de la Bonette. Il s'agit d'une ascension de 22,9 km avec une pente moyenne de 6,9 %. La montée comporte pas moins de 24 virages en épingle à cheveux. À 2 802 m d'altitude, la Cime de la Bonette est le véritable toit du Tour. Et même d'Europe. La plus haute route asphaltée continue d'Europe se trouve sur la Cime de la Bonette et a été construite en 1961. Un an plus tard, le Tour y est passé pour la première fois, avec la victoire de Federico Bahamontes.

Chaque inconvénient a son avantage, dit le cliché. La ligne d'arrivée n'est pas à Paris cette année car les Jeux olympiques y débutent une semaine plus tard. L'organisateur A.S.O. émigre vers Nice pour en faire un "mini-Paris-Nice". La dernière étape sera un contre-la-montre individuel de 34 km entre Monaco et Nice. Bien sûr, cela aurait pu se faire parfaitement par le littoral, mais pour plus de spectacle, il y a quelques montagnes entre les deux. Comme l'ascension abrupte du Col d'Èze, bien connue de Paris-Nice.

Les coureurs, mais aussi les voitures, parcourent le difficile itinéraire du Tour (3 492 km). Heureusement, l'organisateur A.S.O. dispose de toute une flotte de Škoda fiables. La marque automobile tchèque, qui a débuté comme fabricant de bicyclettes en 1895, est déjà partenaire officiel pour la 21efois. Pas moins de 205 Škoda accompagnent le Tour cette année, principalement des modèles électriques et hybrides rechargeables.

Parmi les nouveautés notables de la grande flotte Škoda figurent la nouvelle génération de la spacieuse 

 et deux versions camouflées du SUV électrique compact 

, le premier des six nouveaux modèles électriques qui verront le jour au cours des prochaines années. L'

 électrique et la Superb Combi hybride servent de "voitures rouges", le centre de commandement mobile du directeur de course Christian Prudhomme et des organisateurs. Škoda contribue donc à assurer un Tour sans heurts, des étapes de plaine aux étapes de montagne.

Découvrez ici les derniers modèles de Škoda, supporter de la grande famille des cyclistes

Les points culminants du Tour : du Col du Galibier à la Cime de la Bonette

Related Articles